Toutes les professions de santé sont représentées dans la réserve du service de santé des armées, mais pas la kinésithérapie.
Les événements survenus ces dernières années ont montré la nécessité de formation des kinésithérapeutes aux blessures de guerre. C’est pourquoi un congrès aura lieu les 16 et 17 mars 2018 pour informer nos confrères de la particularité de cette prise en charge et la nécessité de formation à ces traitements spécifiques. C’est un enjeu indispensable, il faut réellement au minimum 150 kinés (réservistes ou non) pour cette année si nous voulons être crédible.